Amis lecteurs, musiciens, luthiers.
J’ai le plaisir de vous annoncer mon retour en tant que rédacteur de la revue Resmusica.
Pour ceux qui ne connaissent pas Resmusica, il s’agit d’une revue en ligne, qui traite de sujets sur la musique classique. On y trouve des entrevues avec des musiciens, des critiques de concerts, de disques, des écrits sur les compositeurs, sur les instruments, etc.
Il y a quelques années, Christophe Le Gall et Isabelle Perrin, à l’époque administrateurs de Resmusica, m’avaient sollicité pour écrire quelques articles relatifs à mes réflexions sur la lutherie. Je m’étais pris au jeu et, plus tard, ces écrits ont donné naissance au livre « Petites histoires du violon ».
Aujourd’hui, Resmusica met en ligne mon dernier article. Il s’intitule: « Petite histoire politique du violon: un luthier ne devrait pas dire ça! ». En voici le début:
Quand j’étais petit, dans les années 80, passait à la télévision une émission fameuse : « Le grand échiquier ».
Présentée par Jacques Chancel, homme cultivé s’il en est, elle proposait des entrevues et des discussions entre artistes, musiciens, acteurs, le tout à une heure de grande écoute. C’était donc une « émission populaire de grande qualité », comme on disait à l’époque.
Le 30 juin 1982 reste une date importante pour les musiciens et encore plus pour les luthiers. Sur le plateau étaient invités les violonistes Isaac Stern et Jean-Pierre Wallez, les violoncellistes Mstislav Rostropovitch et Maurice Gendron et le luthier Etienne Vatelot. On peut dire qu’étaient réunis ce jour là les meilleurs musiciens classiques de l’époque, jouant les meilleurs instruments (entre autres des Stradivarius), avec le meilleur luthier de France (et certainement un des meilleurs du monde). En clair, cette émission était la meilleure de la télé et nous en étions assurément les meilleurs spectateurs.
Pour la suite, cliquez sur ce lien: petite histoire politique du violon
Alors ça c’est une bonne nouvelle, ravi de vous voir de retour sur la toile, ici ou ailleurs !