Amis musiciens, mélomanes et luthiers Je vous propose un petit voyage historique: de l’Espagne du 15ème siècle à l’Italie du Nord, de Tolède à Brescia puis Crémone au 18ème siècle, vous saurez comment – selon moi- est né le violon. Voici donc mon dernier article paru sur Resmusica Bonne lecture
Dans mon dernier post, je vous ai entretenu de la forme du violon et de l’alto.
J’évoquais sa dimension morbide.
Passons maintenant à des choses plus réjouissantes! Voici la suite de la vidéo que j’avais mis en ligne il y a quelques années. Vous pourrez retrouver ces réflexions -et bien d’autres- dans mon livre: « Petites histoires du violon ». Mais fi de placement de produit! Voici, je l’espère, de quoi vous amuser et vous instruire à la fois:
Vous vous intéressez à l’origine des instruments à cordes frottées?
Il y a quelques années, j’avais mis en ligne quelques vidéos relatives au violon.
Bien que maintenant spécialisé dans la fabrication d’altos, je vous les présente à nouveau. Car, bien que tout le monde sache à présent qu’un alto n’est pas un gros violon, il existe quand même entre eux des points communs.
Si le sujet abordé dans cette vidéo vous intéresse, il est en partie traité dans mon livre « Petites histoires du violon ». La prochaine aura pour sujet « La dimension sexuelle de l’instrument ». Tout un programme…
Vous en avez assez des blagues douteuses qui circulent sur vous. Comme quoi vous seriez des violonistes ratés. Ou comme quoi on n’entend pas l’alto dans l’orchestre et c’est tant mieux).
Les rares occasions où vous ne déclenchez pas la raillerie contre vous sont uniquement celles où votre interlocuteur ne sait même pas ce qu’est un alto. Vous répondez alors, un peu honteux, que c’est un grand violon, accordé une quinte en dessous et donnant un son plus grave. Le vocabulaire même que vous employez vous fait mal : vous devez décrire votre instrument par rapport à un autre (pourquoi ne se décrirait-il pas par lui-même ?), vous le qualifiez « d’en dessous » et insistez sur la gravité de la situation. Pour autant, vous aimez votre instrument. Même : vous l’aimez pour ce qu’il est, en dépit du manque de considération dont lui et vous souffrez.
Ne souffrez plus ! Il est temps de restaurer vos honneurs respectifs. Cliquez sur ce lien: