Voici le témoignage de Gabriel
Du classique au folk à l’électro
J’ai acheté mon alto à Laurent Zakowsky lors de mes études de musique classique au CRR de Lyon. Depuis, je continue de jouer avec cet alto du classique bien sûr mais aussi dans toutes sortes de cadres divers et variés. Parfois, je l’emmène avec moi à des jams par exemple pour improviser autour d’un feu ou à la plage avec des guitaristes, des joueurs de handpan, des chanteurs…
Ou alors c’est avec des musiciens de jazz, pour jouer des standards. J’aime bien aussi accompagner les danseurs. J’ai pu jouer à quelques bals folks, et puis aussi pour des danseurs de contact impro. J’ai également un micro pour m’amplifier et comme ça je peux jouer avec des DJs sur leur musique électronique à des soirées là encore pour des gens qui dansent. J’aime bien aussi aller à des kirtans, c’est-à-dire des soirées de chants dévotionnels. On y chante des mantras indiens, ou des chansons de peuples indigènes. Et entre deux couplets je joue un petit solo, ou alors j’accompagne avec des doubles cordes tout en chantant. J’ai même eu l’occasion d’accompagner des gens qui récitent de la poésie. J’ai pu faire des démonstrations à des enfants.
A travers le monde
Et puis régulièrement, partout où je vais, je fais essayer mon alto aux gens que je rencontre. Ça m’arrive aussi de donner un cours de musique ou de violon au cours duquel j’utilise mon alto. J’ai voyagé pendant deux ans et demi en Asie (en Inde et en Thaïlande) et j’ai pris mon alto avec moi dans des recoins où il est peu courant de voir un instrument à cordes.
Alto porteur de joie
Dans toutes ces circonstances, l’alto est reçu avec beaucoup de gratitude. Cet instrument me permet de répandre la joie, la paix et le bonheur. C’est un instrument qui touche les gens très profondément, car son timbre est riche, un peu comme celui d’une voix humaine. Merci à Laurent de m’avoir fourni cet alto qui aura touché un grand nombre de personnes!
