Un autre aspect de mon travail de luthier: la restauration. Voilà le violon qu’un musicien vient de m’apporter: Il ne s’agit pas d’une « colère » d’Arman. C’est (c’était…) un magnifique violon français du 18ème siècle. Devant un tel désastre, je suis tout d’abord saisi d’effroi. Puis, une fois le choc passé, je dois réfléchir: par où …